Santé et démocratie

 Réactions de lecteurs à propos des « Vaccinations »

J’ai été déclaré positif dès le 14 décembre 2021, point de départ d’une mésaventure de 3 semaines qui m’a conduit à l’hôpital du 24 au 30/12. Cette période ne change pas le regard que je porte humblement sur la période Covid et le danger qu’il y a à diviser la population puis à stigmatiser et caricaturer la minorité en l’excluant du groupe (tout en excitant la majorité qui se sent soudain investie d’une mission et du pouvoir de juger…). La dernière sortie de notre Président venant finalement illustrer parfaitement la situation. 

Il est frappant de voir avec un peu de recul comment il a suffi de quelques saillies médiatiques du gouvernement pour que toute la presse dans un silence assourdissant et la grande majorité de la classe politique suive comme un seul homme sans se poser plus de questions. Cela explique sans doute quelques heures sombres de notre histoire …

Sur le fond il y aurait matière à débattre sur les causes de ce fiasco démocratique mais finalement ces évènements sont révélateurs sur le fait que notre fonctionnement et notre organisation ne tolère finalement que très peu (pas ?) de contre-pouvoirs des citoyens et de la société civile. Particulièrement et paradoxalement, en temps de crise, le pouvoir central entouré de quelques conseils décide du dogme à imposer à la population (dans son intérêt bien évidemment). Ensuite, un discours est construit pour le vendre coûte que coûte quel qu’en soit le prix (y compris si nécessaire la manipulation, le mensonge, la dissimulation) car seuls eux savent ce qui est bon pour nous. Et si la vente ne marche pas, il y a recours à l’autorité. Bien entendu, aucune remise en question du dogme n’est envisageable en cours de route. 

Dans ce mode de fonctionnement, la contradiction, le débat, la réflexion, le questionnement n’ont pas leur place. La minorité doit plier, point barre. Par exemple, est-il possible de se poser la question de l’impact sur le système immunitaire de 3 injections de vaccin par an pendant XXX mois et donc de l’évolution de son rapport coût/bénéfice, en particulier pour les jeunes pour lesquels le risque covid est quasi nul ? Apparemment non. Jamais un journaliste ne posera cette question sur un plateau télé.

Tout cela devrait montrer l’urgence d’une réforme de notre belle démocratie vers une version plus mature, plus adulte, plus transparente avec des instances citoyennes ou le pouvoir élu ne serait pas sur un piédestal mais devrait rendre des comptes en permanence et pas seulement tous les 5 ans. Mais, à la lumière de ces derniers mois, je me demande si cette opinion n’est pas finalement très minoritaire (encore !), la majorité des personnes qui m’entourent préférant finalement un système centralisé autoritaire plus rassurant qui évite de se poser des questions…

Alain Brosseau

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La bagarre continue !

À ma droite, largement majoritaires, les provax (par raison, par crainte, par soumission ?) ; à ma gauche, minoritaires, les antivax (par raison, par crainte, par complotisme ?). Entre les deux, les indécis perplexes et les nombreux vaccinés à contre-cœur (pour ne pas perdre leur travail, pour vivre une vie un peu normale). Les premiers accusent les seconds d’imprudence, d’incivisme, d’être des dangers pour eux-mêmes et pour la société et d’engorger les hôpitaux. Les seconds accusent les premiers d’imprudence et de crédulité, d’intolérance et de dictature ! Peut-on se parler en frères, discuter au lieu de s’invectiver ?

Trois remarques pour peut-être relativiser.

1. Si la stratégie du tout vaccin montre ses limites et entraîne, à ce que je vois autour de moi, plus de séquelles graves qu’on ne le dit, on ne peut cependant pas nier son efficacité, particulièrement pour les personnes à risques (âge, comorbidités). Il semble aussi que soigner plus précocement (grâce aux tests) sauverait bien des vies.

2. Si l’on veut traquer ceux qui engorgent les hôpitaux, il faut aussitôt interdire le tabac, sevrer de force les fumeurs et les alcooliques, car leur comportement fait beaucoup, beaucoup plus de dégâts que la Covid.

3. Enfin (je m’efforce d’être impartial), on peut comprendre les réticences devant des vaccins dont personne ne connaît les effets à long terme, puisqu’il faudrait un recul de 10 ans. C’est au bout de plusieurs années que Distilbène, thalidomide ou Mediator ont révélé leur nocivité.

Comparaison n’est pas raison, et j’espère bien que nos vaccins ne sont pas des bombes à retardement. Mais ne peut-on accepter, au bénéfice du doute, des choix différents, sans diaboliser ni violenter personne ? Hélas, on n’en prend pas le chemin !

Alain Caburet

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Je ne suis pas du tout antivax d’une manière générale, je suis simplement non « vacciné » covid (ce n’est pas un vaccin au sens habituel) avec mes raisons construites avec mes appréciations de ce qui s’est passé depuis 2 ans. Au tout début de l’enthousiasme d’un « vaccin  » miracle qui a fait grimpé le CAC 40, j’ai eu des doutes sur le sérieux de l’affaire. Je me suis renseigné auprès de médecins scientifiques indépendants de haut niveau comme par exemple le docteur Michel de Lorgeril reconnu au niveau international par ses travaux.

        Pour faire court, ce « vaccin « n’est surtout pas solidaire, il suffit d’ouvrir les yeux sur la réalité : étant vacciné on peut prendre le covid et le transmettre à d’autres !!!!

Protège t’il la personne ? Il n’y a aucune preuve probante ( les courbes de personnes décédées ou en soins intensifs sur la base des données officielles dans différents pays plus ou moins « vaccinées » sont analogues…).

        Les nombres de personnes contaminées ne représentent pas du tout la réalité : il suffit de faire peur ou d’imposer des tests pour faire augmenter le chiffre qui ne représente pas la dangerosité de l’épidémie. C’est pourtant sur ce critère que le pouvoir se base pour imposer des contraintes insupportables (notamment pour les enfants).

        Enfin, ces « vaccins  » ont été appliqués à des centaines de millions de personnes à travers le monde alors que les essais cliniques ont été bradés en ne pratiquant pas le double aveugle correctement, comme tous les médicaments doivent être testés. Par conséquent ces essais n’ont aucune valeur et donc les effets secondaires inconnus. Aujourd’hui on sait officiellement qu’ils battent les records de leurs prédécesseurs….mais on en parle pas!

        La publicité vaccinale est répercutée en boucle (un peu moins maintenant) sur tous les grands médias à coup de slogans et d’ordres sans justifications scientifiques solides.

J’ai 77 ans et j’ai « survécu » au covid sans problème à part une perte de goût de 2 mois…

Jean

Pétition demandant la création d’une commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19. Rendez-vous sur la plateforme e-pétitions du Sénat français : 

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-917

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