L’inquiétante histoire des vaccins

Par Marc Menant

Antivax ou provax, le livre de Marc Menant nous concerne tous. La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le plus fragile et le plus emblématique, celui de notre « liberté ». Au nom de la science, elle lui a substitué celui de la santé publique

L’histoire des vaccins depuis Pasteur peut nous aider sur ce débat au cœur de nos vies. Nous proposons un extrait de ce livre :

Le vaccin contre le Covid

En avril 2020, du jour au lendemain, chaque soir, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, promu comptable croque-mort en chef, entonna la litanie des chiffres macabres. Dura des mois la glaçante cérémonie inoculatrice de la terreur, terreur relayée par les sommités des grands hôpitaux sans distinction de spécialité. Et les doctes collègues dégorgent l’horreur sans modération. Ils prédisent des centaines de milliers de morts, l’extension de la contamination aux plus jeunes. Pire, affirment que le virus transmettrait aux enfants la maladie de Kawasaki. Enfin, les camelots de l’apocalypse osent proclamer que le Covid engendre une hécatombe chez les nourrissons ! Ignoble tintamarre. Une folie collective tourneboule les Français, le gouvernement en impose les plus exécrables mesures liberticides. La grande majorité se soumet sans aucune réticence, loue même les décisions avec la carotte de l’imminence de la création d’un vaccin. Quand, enfin, les sacro-saints remèdes sont lancés sur le marché en dehors de l’indispensable essai clinique exigé pour la mise en vente d’un médicament, les autorités attisent la peur des interdits pour encourager au dépistage. Et par un tour de passe-passe digne du bonneteau, le chiffre des contaminations explose. Grossière, la manipulation ! Elle assimile tout porteur du virus à un malade (les fameux asymptomatiques) alors même que, dans 80% des cas, la personne ne ressent aucun symptôme et que les 19% autres ne développent que des maux sans gravité. Je vous épargne, ici, la comptabilité du lugubre bilan. Je me contenterai de pointer les aberrations de cette propagande vaccinale. D’abord, elle allégua que la vaccination de la population assurerait une immunité générale et enrayerait la propagation du virus. Une question s’impose : par quel prodige des porteurs sains (qui par définition sont immunisés contre le virus) peuvent-ils générer un ratio d’anticorps plus efficaces que ceux produits naturellement ? De plus, le Covid est de la lignée des coronas qui, lors de leur duplication, modifient des éléments de leur structure, d’où les variants. Cette variabilité permet au Covid de ne plus être identifié par la mémoire cellulaire, raison pour laquelle sa circulation se poursuit. Le phénomène n’a pas désarçonné les chantres de l’inoculation ; au contraire, ils ont aussitôt clamé qu’elle évitait les cas graves. Rassurée, subjuguée, la foule s’empressa de coasser en chœur « Vive le vaccin ! Vive la passoire sanitaire ! » …

Résumons : on a administré à la population une « imitation » de vaccin alors que l’infection ne présentait aucun danger pour 90% des individus, au nom d’une perverse culpabilisation : « Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour les autres. » La vaccination devait assurer l’immunité générale, allégation sans aucune argumentation scientifique. Par preuve le fiasco du résultat. Et pourtant, les sommités soutenues par la presse continuèrent l’odieuse propagande, imposant une troisième dose en pseudo-protection transitoire qui augurait une quatrième, etc. ! Leur aveuglement dogmatique ignore les victimes d’effets secondaires graves dont des jeunes athlètes victimes en plein effort de myocardites ou de péricardites quelques jours après leur vaccination. La Haute Autorité de santé en déconseilla en novembre 2021 l’inoculation du Moderna pour les 12-29 ans. Fauchés en pleine santé, les sportifs, au nom du « Si vous ne faites pas pour vous, faites-le pour les autres ». Qu’importe, sous la chape, les effets secondaires ! Tout comme les conséquences de la terreur instillée dans les esprits : la surconsommation d’alcool, de tabac, de cannabis, d’antidépresseurs, de somnifères, de sucreries compensatoires, la perte de moral qui décourageait de la pratique sportive (d’autant que les salles de sport et les stades furent fermés des mois). Or, tous ces facteurs amoindrissent le système immunitaire et donc rendent plus sensible aux infections. Et que dire de la situation de l’empêchement des jeux de l’amour pour les adolescents, plus encore, du sort des minots qui ne reconnaissent plus leurs enseignants que par le regard alors que les mimiques du visage ont un rôle essentiel dans l’apprentissage de la langue ! … Tout ça pour une protection déclarée, jamais démontrée par la moindre étude. Infinis, les effets secondaires de la tyrannie sanitaire justifiée par la scandaleuse manipulation des chiffres. Pourtant, ici et là, des médecins (sans parler du professeur Raoult) ont tenté, au risque d’être suspendus par leur « ordre », de dénoncer le mensonge général. Vite muselés, les dissidents. Rien ne doit écorner la science dont les progrès ne cessent de prolonger l’espérance de vie ! Une évidence ! Indiscutable !

Extrait du livre « L’inquiétante histoire des vaccins » de Marc MENANT (Editions Plon)

  • « Inquiétante histoire des vaccins » par Marc MENANT

Un interview à Sud Radio avec Berkoff : 48,12 minutes

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Autre extrait du livre « L’inquiétante histoire des vaccins » de Marc Menant

Editions PLON ; Editrice Lise Boëll  www.plon.fr     www.lisez.com  

« La santé est la récompense d’une vie en épanouissement. Ne voyez point là l’allusion à la réussite sociale. Insipide, chimère, cette réussite-là. Non, j’évoque la vie de pleine réalisation du potentiel de chacun. Une vie émancipée de la triste passivité de consommateur, une vie qui dresse l’être responsable de ses faits et gestes, une vie à l’inverse de l’avilissement en victimisation si largement répandue à notre époque ».

Marc Menant (Page 249)

 

Vivre sur ordonnance

L’espérance de vie n’a cessé de croître pour atteindre, en 2018, 85,3 ans pour les femmes et 79,4 ans pour les hommes. Hélas, trop idylliques, les chiffres appellent à la nuance si l’on tient compte de la bonne santé. Dans cette perspective, c’est-à-dire celles de personnes ne souffrant d’aucune limitation physique et intellectuelle dans leurs activités, le bilan tombe à 64,5 ans pour les femmes et à 63,4 ans pour les hommes. Notons encore que les hommes cadres vivent 6,3 ans de plus que les ouvriers, et les femmes cadres 3 ans de plus que les ouvrières.

Cette altération de la santé à partir de 64,5 ans se traduit par une surconsommation de médicament. 89 % des plus de 65 ans suivent un traitement régulier et pour 50 % d’entre eux la prise quotidienne varie de trois à quatre molécules différentes, 38 % grimpent à au moins dix et 1 % à plus de dix !

A priori, les statistiques sacralisent l’action des médicaments : grâce à eux, la prolongation de vie jusqu’à plus de 80 ans ! C’est oublié que l’aliénation à un traitement n’est pas synonyme de guérison, elle permet juste la disparition des symptômes. La suppression de la prise des doses prescrites entraine en quelques jours la réapparition des maux disparus, preuve que « la maladie » est bien toujours active. C’est donc grâce aux conditions de vie, en particulier au confort, comme les logements bien chauffés l’hiver, que l’espérance de vie augmente malgré la dégradation de la santé pour le plus grand nombre dès 64 ans.

Mais l’opinion tient à croire aux prodiges de la médecine.

1500 comprimés par an en moyenne par habitant ! Gloutons aux molécules, les Français. Premiers au monde ! Une dépendance médicamenteuse qui s’étend à l’utilisation des sprays, de pommade. Totale, notre dépendance à la médecine allopathique et ses remèdes issus de la chimie. L’écart à l’orthodoxie souille, voire effondre la réputation la mieux établie. Exactement ce qui est arrivé au professeur Luc Montagnier. Pourtant, il semblait intouchable, glorifié par le Nobel de médecine pour la découverte du virus du sida. Et puis, il déclara dynamiser le système immunitaire en déliquescence de ses patients par la prescription de fortes doses de poudre de papaye fermentée. Aussi sec personna non grata, Montagnier. Déplorable, pour la caste du caducée, la nouvelle voie dans laquelle il s’était engouffré. Par ricochets, il redonnait du crédit aux fatras des médecines douces et à leurs apôtres. Si j’étais opportuniste, habile faiseur, je m’inscrirais de suite dans ce filon qui marche à la paranoïa, « le petit écrasé par les puissants », et, bien sûr, j’accuserais les grands labos d’être les maniganceurs de cette exécution publique. Trop simpliste, l’accusation de l’industrie pharmaceutique. Certes, ô combien indéniables, ses façons mafieuses, mais elles relèvent de celles en vigueur dans tous les pans de l’économie, des banques au nucléaire, en passant par l’armement, l’industrie pétrolière, l’agroalimentaire … Tare du libéralisme, le profit sans scrupules ! N’oublions jamais, comme je l’ai déjà signifié, que les labos ne font qu’appliquer à leurs grands profits les théories établies par la Faculté. Elle l’Académie, qui rabaisse « obscurantiste » tout esprit libre qui ose la critiquer même s’il est issu de son sein. Reste qu’elle ne peut étouffer les chiffres accablants qui brisent l’auréole de la science des sciences et de ses thérapies miraculeuses.

Incontestables, les chiffres, livrés par le très sérieux réseau des centres régionaux de pharmacovigilance, des chiffres a minima -écarquillez bien les yeux. En France, chaque année, 1,3 million de personnes sont hospitalisées dans le secteur public à cause de l’effet indésirable d’un médicament. Pour plus de 450 000 d’entre elles, l’état est considéré comme grave. Ces 1,3 millions de cas représentent 10 % des patient qui séjournent à l’hôpital. Là où le scandale atteint le comble de l’horreur, c’est avec le bilan des décès engendrés par la seule absorption des médicaments : 20 000 par an dus aux effets iatrogènes, selon le docteur Amine Umlil.

Deux études nationales menées en 1997-1998 par les centres régionaux de pharmacovigilance déterminaient une prévalence de 13 % d’événements iatrogènes[1], dont un tiers grave, avec cette précision : 15 à 20 % des plus de 65 ans hospitalisés le sont pour cette cause.

Le sinistre phénomène ne se circonscrit pas à l’Hexagone. On le retouve dans tous les pays les plus riches.

… Le service de santé anglais reconnaît, lui, que le nombre de patients « morts sur ordonnance » a augmenté de 500 % en dix ans !

Quant à l’OMS, elle estime que, selon les pays, les médicaments figurent entre la quatrième et la sixième cause de mortalité.

Cachez les infâmes statistiques !…


[1] On appelle « iatrogène » un trouble ou une maladie causé par un médicament ou un acte médical.

Un commentaire

  1. Il y a mille façons de distiller la terreur. Nous le savions dans les pays totalitaires. Mais c’est la première fois dans ma vie que je le constatais….dans notre démocratie.
    Est-ce inscrit dans notre cerveau reptilien ?

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