Je n’oublierai jamais …

Association Reaction19Retour vers un passé si proche …  Proposé par F. G. –

JE N’OUBLIERAI JAMAIS … « Quoi qu’il en coûte »

Je n’oublierai jamais quand la peur s’est installée le 16 mars 2021 avec le « Nous sommes en guerre » du président Macron.

Je n’oublierai jamais ce jour où le Président a affirmé que nous étions désormais assignés à résidence sans procès préalable.

Je n’oublierai jamais ces semaines d’enfermement et les attestations de déplacement dérogatoires, pour respirer en dehors de chez soi.

Je n’oublierai jamais la peur distillée jours après jours par les médias.

Je n’oublierai jamais la fermeture forcée de nos commerces « non essentiels », de nos cafés et restaurants, de nos lieux de travail et de culture, de nos administrations, de nos écoles et de nos postes.

Je n’oublierai jamais l’interdiction d’accès aux parcs, jardins et autres plages, parfois suspendue, selon l’humeur.

Je n’oublierai jamais les rues des grandes villes désertées même dans les coins les plus fréquentés.

Je n’oublierai jamais la police traquant les personnes dans les bois ou sur les plages désertes pendant les confinements.

Je n’oublierai jamais le « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane », interdisant tout soin précoce, efficace et peu onéreux.

Je n’oublierai jamais les masques tantôt inutiles, tantôt obligatoires même en extérieur, sous peine d’amende, imposés jusque dans les écoles même aux heures de « récré ».

Je n’oublierai jamais l’effacement des visages.

Je n’oublierai jamais le malaise des enfants, leur incompréhension, leur difficulté à respirer, leurs maux de tête, leur retard psychomoteur.

Je n’oublierai jamais ces instituteurs les réprimandant à longueur de journée lorsqu’ils étaient mal masqués. Certains ont même été très imaginatifs quant à la sévérité des punitions.

Je n’oublierai jamais ces opposants à l’intérêt supérieur de l’enfant, en tête, l’éducation nationale et les pouvoirs publics.

Je n’oublierai jamais, les mains d’enfants brûlées par le gel hydroalcoolique.

Je n’oublierai jamais ces « mainstream », patentés comme dépositaires de la vérité, mettre au pilori par des campagnes de discrimination, des scientifiques reconnus, des médecins irréprochables et des défenseurs du droit opposés à leur narratif.

Je n’oublierai jamais les attestations sur l’honneur contrôlables par les forces de l’ordre, justifiant et définissant nos sorties limitées à quelques motifs.

Je n’oublierai jamais l’exagération des morts qualifiés « covid ».

Je n’oublierai jamais les 135€ d’amende pour défaut d’attestation ou promenade seul en forêt pour pouvoir respirer sans masque.

Je n’oublierai jamais les dénonciations des voisins à la police.

Je n’oublierai jamais la mise en place de drones pour nous surveiller, nous rappeler à l’ordre voire nous verbaliser.

Je n’oublierai jamais la censure hallucinante des plus grands réseaux sociaux contre toute opposition, ainsi que l’allégeance qu’ils ont prêtée aux hommes politiques de nombreux états, contre exonération d’impôts et autres taxes normalement dues.

Je n’oublierai jamais les fact-checkers à la solde du gouvernement.

Je n’oublierai jamais le masque obligatoire dans les hôpitaux et cliniques pour des personnes en insuffisance respiratoire ainsi que pour les femmes pendant l’accouchement.

Je n’oublierai jamais l’augmentation des tentatives de suicide des jeunes et aussi des très jeunes.

Je n’oublierai jamais la prétendue saturation des hôpitaux alors que la fermeture de lits a toujours été au programme.

Je n’oublierai jamais les chiffres exagérés d’occupation des lits en réanimation par des patients « covid » contredits par un rapport de l’AITH les remettant à 2%.

Je n’oublierai jamais nos anciens en EHPAD interdits d’hôpital et « terminés » au Rivotril.

Je n’oublierai jamais la confiscation d’un vrai débat scientifique public sur cette nouvelle maladie.

Je n’oublierai jamais qu’on ait osé me faire croire que voisins, amis ou membres de ma famille pouvaient me tuer en me parlant.

Je n’oublierai jamais, la fermeture des rayons livres, jouets et autres sous-vêtements pour sauver des vies

Je n’oublierai jamais les rares associations comme Reaction19 ou Réinfocovid qui ont apporté une aide précieuse à des millions de personnes perdues face à une désinformation ignoble.

Je n’oublierai jamais la maltraitance des personnes âgées en EHPAD, emprisonnées, privées de sortie jusqu’à être attachées à leurs lits, interdites de parc, de soleil, de visite et donc d’amour. Certaines se sont laissées mourir.

Je n’oublierai jamais, une pub audio-visuelle pour inciter à mettre Papi et Mamie dans une autre pièce, pendant le repas de Noël.

Je n’oublierai jamais une vidéo du gouvernement où une grand-mère se retrouve en réanimation après avoir été approchée par sa petite fille.

Je n’oublierai jamais les couvre-feux, d’abord à 21h puis à 20h, 19h et enfin 18h ainsi que la docilité d’une majorité de français face à une minorité résistante.

Je n’oublierai jamais les interdictions de déplacements pour se rendre au chevet d’un proche mourant.

Je n’oublierai jamais le rôle inquisiteur du Conseil de l’Ordre des médecins, aux ordres du pouvoir, accréditant l’infâme propagande gouvernementale via les médias.

Je n’oublierai jamais l’interdiction de traitements potentiels et peu couteux.

Je n’oublierai jamais l’interdiction de prescrire ces traitements.

Je n’oublierai jamais l’apparition « spontanée » de « vaccins » anti-covid comme unique traitement.

Je n’oublierai jamais ces injections expérimentales faisant de tous les vaccinés de la planète des cobayes.

Je n’oublierai jamais la contribution des médias, perfusés par l’AFP, tous subventionnés par l’État, préparer avec ferveur le terrain des mesures liberticides prises par le gouvernement français.

Je n’oublierai jamais « l’Adresse aux français » du 12 juillet 2021 d’Emmanuel Macron qui a bâillonné la démocratie avec un pass sanitaire régentant la vie sociale des citoyens.

Je n’oublierai jamais la stratégie abjecte d’extorsion de consentement à cette injection par ce pass « sanitaire » puis « vaccinal ».

Je n’oublierai jamais le piétinement du serment d’Hippocrate.

Je n’oublierai jamais l’obligation du pass sanitaire pour la pratique d’un sport de loisir ou de compétition dès l’âge de 12 ans.

Je n’oublierai jamais La ségrégation en France entre les bons citoyens ayant des droits via ces pass et les autres.

Je n’oublierai jamais nos élus qui ont voté ces lois liberticides et nos Conseils d’État et Constitutionnel, organes régulateurs de notre République, qui les ont validées.

Je n’oublierai jamais le traçage des individus et la transformation de la population en milice privée.

Je n’oublierai jamais le Dr Michel Cymes, sur les anti-vaccins covid : « Qu’ils se regardent dans la glace et se disent, oui, je peux tuer des gens aujourd’hui. »

Je n’oublierai jamais le mépris ainsi que le discrédit jeté par les médias et les pouvoirs publics envers les résistants par le choix méthodique d’images ou le comptage sous-estimé des manifestants.

Je n’oublierai jamais : « On vous vaccinera de force. Moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination ». Emmanuel Lechypre, journaliste.

Je n’oublierai jamais : « Les devoirs valent avant les droits. » Emmanuel Macron

Je n’oublierai jamais : « Un irresponsable n’est plus un citoyen. » Emmanuel Macron dans Le Parisien au sujet des non vaccinés.

Je n’oublierai jamais le contrôle du pass dans les hôpitaux, cafés, restaurants, centres commerciaux, transports ferroviaires et aériens et même pour les remontées mécaniques.

Je n’oublierai jamais la discrimination effectuée aux urgences pour les patients sans pass.

Je n’oublierai jamais le contrôle zélé de ce pass par nos semblables en mal d’autorité ou de supériorité.

Je n’oublierai jamais l’interdiction des hôpitaux aux malades en cours de traitement non détenteur d’un pass.

Je n’oublierai jamais les mesures imposées établissant la primauté de l’immunité vaccinale sur l’immunité naturelle.

Je n’oublierai jamais les menaces et les insultes faites aux non vaccinés par des personnes connues sur les plateaux de télévision.

Je n’oublierai jamais : « On ne peut pas avoir une activité sociale sans être vacciné (…) C’est donc une sorte de semi-confinement des personnes qui ne sont pas vaccinées (…) Il faut que les personnes non vaccinées comprennent que c’est leur propre intérêt ». Professeur Alain Fischer, au sujet du pass vaccinal.

Je n’oublierai jamais l’action répressive des forces de l’ordre au sein même des hôpitaux

Je n’oublierai jamais l’accroissement des inégalités et de la fracture sociale.

Je n’oublierai jamais : « Une personne revendiquant le libre choix de ne pas se faire vacciner ne devrait-elle pas en cohérence son libre choix de ne pas se faire réanimer ? » Professeur André Grimaldi dans une tribune du JDD.

Je n’oublierai jamais : « Greffer un non vacciné c’est gaspiller un organe. » Patrick Evrard, directeur du centre de transplantation de Mont-Godinne à Namur.

Je n’oublierai jamais Michel Onfray comparant les non-vaccinés à « des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. »

Je n’oublierai jamais : « Faisons payer l’entrée en réanimation aux non vaccinés. » Charles Consigny, chroniqueur

Je n’oublierai jamais l’obligation vaccinale, au 15 septembre 2021, des soignants, des pompiers et des militaires faisant des réfractaires à cette obligation des « suspendus ».

Je n’oublierai jamais les soignants applaudis puis suspendus, sans aucune ressource ni indemnité, puisque privés aussi de licenciement.

Je n’oublierai jamais la passivité, la léthargie et l’acceptation du peuple face à la destruction de nos droits fondamentaux.

Je n’oublierai jamais les multiples agitations et prises de paroles publiques de Christian Estrosi, maire de Nice, pantin du pouvoir, toujours prêt à pousser plus loin les règles liberticides.

Je n’oublierai jamais : « Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire: à partir du 15 janvier 2022, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné… » Emmanuel Macron.

Je n’oublierai jamais l’obligation de manger assis pour échapper au virus volant au-dessus.

Je n’oublierai jamais ces « médecins de plateau », donneurs de leçons, alors qu’en lien ou en conflit d’intérêt avec les labos pharmaceutiques.

Je n’oublierai jamais le vol en éclat de la devise de notre pays : Liberté, Égalité, Fraternité.

Je n’oublierai jamais : « Être libre, c’est être libre d’obéir au risque d’être mis au ban de la société ». Olivier Véran, ministre de la Santé.

Je n’oublierai jamais la fabrique de sous-citoyens dans notre République.

Je n’oublierai jamais la maltraitance infantile par la multiplication des tests rhinopharyngés invasifs et douloureux imposés par le gouvernement

Je n’oublierai jamais la quantité et la variété d’effets secondaires afférents à cette vaccination, pas toujours reconnus voire tus par nos médias et nos pouvoirs publics.

Je n’oublierai jamais la détresse et la solitude des victimes de ces effets parfois irréversibles.

Je n’oublierai jamais les morts de ces effets secondaires qui se comptent par dizaines de milliers juste dans l’Union Européenne.

Je n’oublierai jamais la puissance phénoménale des lobbies et autres cabinets de consulting pour corrompre les médecins, les scientifiques, les élus et tous les chefs d’états occidentaux.

Je n’oublierai jamais qu’après 3 doses vaccinales « covid », le slogan gouvernemental « Tous vaccinés, tous protégés » n’ait pas été remis en question.

Je n’oublierai jamais la trahison de nos dirigeants et de l’OMS.

Je n’oublierai jamais la destruction planifiée du lien social.

Je n’oublierai jamais l’éradication du parlement.

Je n’oublierai jamais le coup d’état de l’Europe contre les peuples.

Je n’oublierai jamais le basculement de cette crise sanitaire en crise économique, financière, sociale et politique et enfin en crise de confiance générale.

Non, je n’oublierai jamais le « Quoi qu’il en coûte », notre souffrance… et je pleure…

Contribution : Alain Tortosa, Juliette, Bobby Jack, tmpx.
Association Reaction19 https://reaction19.fr/

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