La psychologie positive propose un regard plus équilibré sur soi et les autres, qui contribue à la bonne santé mentale.
Elle vise à identifier ses propres ressources pour savoir les mobiliser. Ceci, en contrecarrant ma négativité, autrement dit la tendance naturelle à tourner son attention vers ce qui dysfonctionne. Ce type de comportement, normal en situation de survie, entraîne anxiété et dépression, rumination et méfiance dans un contexte non problématique.
Un courant européen prône d’apprendre à vivre de façon plus apaisée avec ses émotions, plutôt que d’afficher un optimisme béat aux standards très élevés.
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Certains disent : « Il faut tout un village pour élever un enfant ». Or, nous n’avons plus ce village. Tous les enjeux reposent sur les épaules des parents comme des enseignants, alors que les premiers sont souvent des mamans solos et ces derniers sont en sous-effectif, insuffisamment soutenus et formés à la gestion du stress.
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Parution en 2020 de « Ces liens qui nous font vivre » (Ed. Odile Jacob) avec Rébecca Shankland et Christophe André
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